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Gallay, Claudie 
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Que c'est triste Venise, au temps des amours mortes.
La narratrice part pour Venise sur un coup de tête, après avoir été abandonnée par Trevor(!)
C'est l'hiver, elle aboutit dans une pension de famille tenue par un certain Luigi.
Comme commensaux : un prince russe, une danseuse et son petit ami. Elle erre et se perd dans les petites rues, au milieu des odeurs de vase et des murs lépreux.
Elle rencontre un libraire, encore plus taciturne qu'elle. Peu à peu elle retrouve goût à la vie, elle voudrait aimer à nouveau. Ce livre est antérieur aux Déferlantes, où la narratrice essaie également d'oublier un homme aimé.
J'aime beaucoup le style elliptique de Claudie Gallay.
Elle sait parler de la solitude...
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Guy Capelle
(559 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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3/1/2009
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